jamais

jamais je ne t'ai fait part
de mes sentiments pour toi
que tu étais à part
tu étais cher pour moi

jamais je n'ai dévoilé
ce que j'avai dans le coeur
idiotie ou bien peur
que toi aussi tu me trahirai

jamais je n'ai ouvert
mon armure de colère
ne voulant voir ces larmes amères
glisser de tes yeux si verts

pour tout ce silence infâme
les anges ont emportés ton âme
pour tout ces aveux bléssés
puisses-tu dans l'éternité me pardonner

tu me manque tant mon ami
si et seulement sije t'avai tout dit
tu serai pas dans ce foutu paradis
de la paix à présent je suis bannie

pour nu ami partit, encore un de plus ... puisse tu me pardonner ...

Ah les remords qui nous torturent! .... mais enfants de beaux vers qui peut-être exorcisent.
Amicalement, Arwen

Je ressens quelque chose de similaire à ta situation dans ce poème.
C''est magnifiquement exprimé en tout cas.
Mes félicitations