Précipice

Seule sur le bord du précipice
Se demandant si elle doit sauter ou bien reculer
Telle une boule de ouate, la nuit étouffe ses cris
Personne ne l'entend lorsqu'elle crit et se débat
Sa vie est devenue un enfer

Chaque nuit elle pourrait remplir le désert de ses larmes
La douleur est si forte qu'elle n'a plus le goût de rien
Chaque jour elle s'enfonce un peu plus profond
Tel un sable mouvant qui englouti tout, meme sa vie...
Elle ne fait qu'attendre que la mort se présente
Pour quitter cette douleur qui lui presse le coeur, comme un étaux
Elle a le mal de vivre tellemnt elle a mal
C'est comme si la vie l'avait déjà quittée

Elle a peur de son ombre, elle a peur de lui
Elle ne peut pas parlé, sans craindre de le voir foncer sur elle
La vie ne fait que s'acharner une fois de plus
Une autre victime dans ce monde dégeulasse

Et elle, elle ne reve que des étoiles...
De ses étoiles qu'elle a tant chercher, qu'elle veut tant trouver

recules recules!!!!

il n'est pas tant de partir vers un au-delà...

ne cries plus, tu effraies les autres, parles doucement, sans peur, avec sagesse et précision et ils reviendront, ils ne sont pas loin, ils se cherchent, te cherchent, tentent de comprendre, comprendre le mal qui chaque jour t'atteints plus fort, luttes.

n'abandonne jamais la partie, rien n'est perdu, jamais, même quand tout est noir, du noir jaillit la lumière, plus respendissante que lorsque l'on y est habitué.

accroches toi, relève toi et vis

la vie est un don, ne le gâches pas

Angefee oui il a raison pas ce soir pas ce soir s'il te plaît!!!!!
ton poème est magnifique mais il est la lame de notre rasoir ..... étrange nuit que celle-ci!

Arwen pleure.