A last cry!
J'ignore ton âge, ton nom et ton visage,
Mais qu'importe puisque tu respires.
J'ignore les blessures et les ravages
Mais peu importe puisque tu soupires
Des mots si touchants qui mettent en cage
Les heureux qui viennent te lire.
N’oublie jamais ce cher langage
Qui nous permet de ne point mourir.
(Arwen Gernak) mercredi 22 décembre 2004