Deux chevaux blancs

Deux chevaux blancs :

Deux chevaux blancs courent dans un sobre marécage,
C'est le symbole de l'amour traversant les ages.
Rien ne semble pouvoir arréter telle course,
Même la gigantesque force enragée d'un ours.

Deux âmes tranquilles courent; jolie innocence,
Ils comprendront Orphée ! Lorsque privés de sens
Ils seront fait par l'infâme et noire faucheuse.
Elle qui abat et vole la moindre âme réveuse.

Deux chevaux blancs courrent dans un marécage sombre,
Pourtant ici la joie n'est pas couverte d'ombre.
Et rien ne pourra jamais les arréter ! Rien !

L'univers tout entier leur sourit ! Profitez !
Car les feuilles des arbres fannent vite en été !
Et rien n'a jamais su les arréter ! Non... Rien...

ce sonnet montrant la lumiere de l'amour dominant sur l'ombre qui l'entoure est tout bonnement sublime. J'adore ta facon d'ecrire, c'est vraiment magique.
que cette lumiere jamais ne s'eteigne!
amitiés Shiyoken

D'accord avec toi Shiyoken, il est doué notre poête!

a l'origine ce poème est inspiré d'une lettre que ma écrit(e) mon (ma) compagnon(e ...^^) où sur le papier à lettre, on voyait deux chevaux blancs qui couraient dans un paysage un peu marécageux !!!

tu essaies de nous faire croire que "Delphine" c'est un prenom masculin? mdr
amitiés shiyoken

mystère...

Tiens mon ami s'est posé la même question: j'aime son mystère, mais est-il si mystère que cela?

Bisous Jangau

je ne crois pas que le mystère soit toujours là...
ayé... j'ai été identifié... en même temps les indices sont pas très cachés...