AVE Arwen
de plus en plus je vis dans un isolement O combien volontaire,la comedie de la vie a fini par me lasser de la societe je vis reclus, bien que mon commerce m'oblige a faire acte de presence ,je ne fais plus que porter des masques, mais n'est ce un peu la ce que fai tout un chacun...Le monde du net ( celui des jeux en reseau aussi) est un univers d'amitiés bien éphémeres ( AMIS n'est qu'un mot du dictionnaire,meme moi je ne suis mon ami il m'arrive de me trahir).
Dans ma breve carriere d'ecrivain, quatre années passées a salir du papier, j'ai pondu assez de phrases aux differentes tournures que pour tapisser un hall de gare, je n"ai poser encore la plume a jamais car je pamphétise encore assez, mais les tartines a ralonges que j'ai l'habitude de pondre ont elles a jamais mortes, dans mes textes j'ai usé TOUS les sujets que l'on puisse trouver en regardant autour de soi, il y en a pour tous les matricules, mon forum est la pour en temoigner et je n'ai pas eu le courage de tout y mettre, ce forum et cette rubrique seront les derniérs sur lesquels je posterais encore mes ecris ......per quello che ti riguarda continua di scrivere, ne vali veramente la pena.
Triste ménagère
A toi triste ménagère
Close à en être sectaire.
Un mari qui courbe le dos !
Auto, boulot, dodo.
L’amour te manda un faire part,
Depuis des ans c’est chambre à part.
Un jour tu changeas d’univers.
Le prince orné de cicatrices ignobles
T’en illustras qu’à médaille il y à revers.
Euphorisée par le fruit du vignoble,
Délaissant tes complexes familiaux.
Vous buvates la moitié du vin,
Entre vous il y avait plus que la moitie de vingt.
Tu pâturas ton abstinence aux corbeaux !
Bien que douloureux…mais ce fut beau.
De chasteté huit années,
Furent vite oubliées !
Mais pour ce jeune espoir,
Tu n’auras été qu’un vidoir !
Qu’importe ! Il y à de la place dans ta mémoire.
Pour fauve en quête de faciles gloires.
La vie n’est qu’un piètre carnaval
Parsemées d’amitiés toujours bancales.
Notre temps sur cette terre
N’est-il comme l’allumette
Qui se brûle et que l’on jette.
Alors pourquoi plaisirs ne se faire ?
Profitons de nos corps
Avant que le marbre ne recouvre le mort…