Le bras droit des dieux

Le bras droit des dieux




Caché par honte, alors rejeté par ta mère
En tombant tu croyais atteindre les enfers
Là haut, les dieux te choisirent un autre destin
C’est l’océan qui te prit au creux de sa main.

Seul dans ton monde à servir les héros
Tu forges de tes mains ce qui combat leur fardeau
Dans ton antre bouillonnant tu crées avec passion
Toi qui, pourtant, n’amenait que répulsion.

Ta vie était peut être simplement une fable
Ta laideur disparaissait tant tu étais aimable
Tous t’aimèrent et voulurent te remercier
T’offrant comme épouse la beauté incarnée.

Tu l’aimais de toute ton âme, de tout ton être
Mais de la grâce, l’amour n’arrivait à naître
Te trompant avec un homme belliqueux
Tu n’eus d’autre recours qu’implorer l’aide des cieux.

Personne ne t’entendit lors de ces plaintes répétées
Alors que tu étais le seul à les avoir tous aidé
N’ayant d’autre choix que de laisser partir ta belle
Héphaïstos, tu vis maintenant seul et sans tes ailes…

Mais que vois-je? Shiyoken se plaît aux alexandrins : mes hommages monsieur!
AVOUONS-LE! Ils ont un certain charme, non un charme certain...........

Arwen

ce poeme n'est helas pas entierement en alexandrin sinon je n'aurais pu dire tout ce que je voulais, mais il est vrai que j'ai porté une atention toute particuliere a certain vers, et le reste tourne autour des douze, mais c'est un ecrit inachevé puisque partiellement reussi. Mais bizarrement je n'ai plus envie d'y toucher, meme dans l'imperfection je le trouve a mon gout... Merci
je t'embrasse Shiyoken